Ça faisait des mois que je n’étais pas allé au cinéma, imaginez tout ce que j’ai raté… Pour me remettre dans le bain, j’ai jetté mon dévolu sur Le Jour ou la Terre s’Arrêta, le remake du film éponyme de 1951. Avec dans le rôle du «gentil» extraterrestre klaatu, Keanu Reeves, dans le rôle de la jolie savante pleine d’amour, Jennifer Connelly et pour jouer le prix Nobel physique plein d’altruisme, l’inégalable John Cleese.
Ce remake est assez proche de l’original, enfin, plutôt de la nouvelle sur laquelle se base l’original. Le robot extraterrestre a droit a un renfort d’armes et d’effets spéciaux, mais bon, les humains ont de nouveaux jouets pour le mettre à l’épreuve…
Et pour finir mon marathon, et avant qu’il ne passe plus en salle, L’Incroyable Hulk avec Edward Norton dans le rôle du Dr Banner, Liv Tyler, Tim Roth et William Hurt.
Dans cette version, le Bruce Banner est devenu Hulk par erreur alors qu’il travaillait pour l’armée dont le but était de créer des super soldats. Il est en cavale depuis des années, et il réussit pour l’instant à éviter de se transformer. Réfugié au Brésil, il corresponds avec un M. Blue qui tente de l’aider à trouver une manière de faire disparaître Hulk. Il prends aussi des cours d’arts martiaux, de méditation et de respiration pour l’aider à contrôler ses émotions.
Ensuite, il me restait un autre film que je voulais voir. J’ai donc vu Je Suis Une Légende, avec Will Smith. (Non, pas de deuxième acteur, il est quand même bien sensé être le dernier homme vivant sur terre…)
Tout commence par la découverte d’un vaccin contre le Cancer, qui, au début, semble prometteur, puis, le vaccin se transforme en virus commence à avoir un effet tout à fait imprévu… Il commence par se transmettre par contact, puis prends son envol et se répands à toute l’humanité.
Bon, ben, on est lundi, je vais rentrer chez moi. Je me réveille doucement, vers 7h30 en me disant qu’il va falloir que je fasse mon sac. Je prends une douche, m’habille (short, t-shirt), ouvre les volets, vois la pluie tomber, ouvre mon mac et regarde la météo, pluie, 6°C… Exit le short, ça sera pantalon et sweat, ça fera de la place dans mon sac. Je prépare donc mon sac, enrobe tout le sirop d’érable que je ramène dans tout le linge sale histoire de le protéger contre les brutalités des bagagistes de l’aéroport.
9h00, (oui, j’ai un peu traîné, papoté sur irc, tout ça,) je me décide à aller déjeuner Chez Cora sur Rideau St.. Je commande un cocktail de fruits du jour, aujourd’hui, orange, pomme, banane et pêche, un thé, et une monstruosité avec un oeuf sur le plat sur un «french toast» (ne me demandez pas ce que c’est, je n’ai jamais vu ça en France, ça ressemble peut être à du pain perdu mais sur du pain tout frais) avec du bacon et plein de fruits coupés en morceau.
La journée commence, (comme les autres jours d’ailleurs) par un petit déj à la cafétéria de la résidence, qui est, plutôt pas mal du tout, s’en suit une petite marche jusqu’au bâtiment où la conférence se tient, SITE.
Un petit passage au bureau d’enregistrement pour récupérer mon pack, (une sacoche, la facture, un petit carnet Google,) et je vais m’asseoir dans l’amphi ou va se tenir la welcome session où Dan Langille va nous faire rire.
Ce soir, rebelote, j’ai emmené ma maman au Théâtre du Châtelet pour voir une leçon de musique de Jean-François Zygel, sur Johannes Brahms.
Cet après midi, comme j’avais un invité, et qu’on n’allait pas rester toute la journée à faire de l’IRC, on est allés au cinéma voir la superproduction la plus chère de l’histoire du cinéma français, Astérix aux Jeux Olympiques.
Alors, effectivement, il faut le dire, il y a un très beau panel d’acteurs, Clovis Cornillac qui fait un plutôt bon Astérix, Gérard Depardieu l’Obélix qu’on commence a connaître, Alain Delon qui fait franchement un Cæsar vraiment fabuleux, «Avé César, oui, oui, Avé moi»… Benoît Poelvoorde en un Brutus prêt à tout, Alexandre Astier en légionnaire romain, je regrette toutefois que son rôle n’ait pas été plus développé, Franck Dubosc en Assurancetourix pas trop mal, Francis Lalanne en Francis Lalanix un barde gaulois fan qui connaît toutes les chansons d’Assurancetourix, Michael Schumacher en pilote de char de l’équipe de Germanie appelé Shumix avec Jean Todt comme entraîneur, Dany Brillant en goûteur de miroir, et puis aussi, vers la fin, pendant le banquet habituel, un court passage de Jamel Debbouze en Numérobis, mais aussi Amélie Mauresmo en Amelix, Tony Parker en Tonus Parker, ou encore Zinedine Zidane en Numérodix… (Mais heureusement, reste la voix off de Monsieur Cinéma.)
Pour me changer les idées, je suis allé voir un film pas trop cérébral, Benjamin Gates Et Le Livre Des Secrets Et il remet ça, il se retrouve encore à la recherche d’un trésor perdu. Dans cet épisode, on y découvre sa maman, qui, comme par hasard est la seule à savoir déchiffrer l’écriture sur une tablette de bois datant de plus de cinq siècles.
Je vous ai parlé il y a à peine un mois de la possibilité d’avoir de jolies cartes animées, c’est chose faite, et si tout se passe bien, vous trouverez bientôt des vidéos comme ce qui est disponible chez Fabien Girardin sur mon généralissime site de statistiques Velib’. Et si ce ne sont pas des vidéos, vous trouverez des fichiers .kml vous permettant de rejouer à volonté les variations d’occupation des stations.
Et comme je suis très généreux, je vais vous éviter d’avoir à suivre le lien ci dessus, je vous glisse la vidéo youtube juste là dessous (un .mov d’une cinquantaine de mégaoctets vous attends sur le site de Fabien) :
Ce soir, encore une fois, et toujours avec ma maman, nous nous rendâmes au Théâtre du Châtelet pour voir une leçon de musique de Jean-François Zygel, sur Gabriel Fauré.
Il étudie à l’École Niedermeyer de Paris et y est élève de Saint-Saëns. Il sera organiste à la madeleine, et finira au conservatoire de Paris, tout d’abord comme professeur de composition puis comme directeur.