Et pour finir mon marathon, et avant qu’il ne passe plus en salle, L’Incroyable Hulk avec Edward Norton dans le rôle du Dr Banner, Liv Tyler, Tim Roth et William Hurt.

Dans cette version, le Bruce Banner est devenu Hulk par erreur alors qu’il travaillait pour l’armée dont le but était de créer des super soldats. Il est en cavale depuis des années, et il réussit pour l’instant à éviter de se transformer. Réfugié au Brésil, il corresponds avec un M. Blue qui tente de l’aider à trouver une manière de faire disparaître Hulk. Il prends aussi des cours d’arts martiaux, de méditation et de respiration pour l’aider à contrôler ses émotions.

Banner travaille dans une usine d’embouteillage de soda et un jour finit par se couper en réparant un équipement. Une goutte de son sang atterris dans une bouteille, qui finit par être consommée par un infortuné consommateur à Milwaukee. Grace à cela, les militaires américains retrouvent sa trace et tente de le capturer. Lors de cette tentative, Banner se transforme en Hulk et réussit à s’enfuir, cependant, un soldat d’élite (Tim Roth) se pose des questions et finit par apprendre ce qu’est Hulk. Pour pouvoir le combattre à armes égales, il se fait injecter le sérum du Super-Soldat (oui, celui de Captain America) qui augmentent son agilité, sa vitesse, ses reflexes, ainsi que sa vitesse de guérison.

Retour aux États Unis, retrouvailles avec sa belle, une pizza, un savant un peu fou, une abomination, un combat, New-York encore dévastée. (Ils ont bon dos les newyorkais a toujours reconstruire a chaque fois qu’un super héros se bat contre un supér vilain.)

Marvel nous prépare un truc, après Samuel L. Jackson alias Nick Fury qui vient parler d’une «Avenger’s Initiative» à Tony Stark à la fin d’Iron Man, Robert Downey Jr. viens nous en remettre une couche à la fin de Hulk en disant qu’ils montent une «équipe»…

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