J’ai entendu parler je ne sais plus où de ce livre, La femme du monstre, ce n’est pas le genre de livres que j’ai l’habitude de lire, c’est étrange, dérangeant, cru, dur, et plutôt sex.
Au travers du procès de son ex-époux, on découvre la vie de cette femme, sa rencontre avec le monstre, vers vingt-deux ans. Elle le trouvait beau, fort, et n’a jamais demandé pourquoi il l’avait choisi elle, une femme quelconque.
J’ai terminé ce matin le prix goncourt ’07, Alabama Song. Ce n’est pas mon habitude de lire des livres primés, mais il m’a été recommandé, alors, je me suis dit, pourquoi pas…
Il se lit très vite, et très facilement. (je l’ai commencé mardi matin, et je ne lis, en général, que dans le métro.) Il raconte la vie de Zelda Sayre Fitzgerald, épouse du célèbre écrivain américain F. Scott Fitzgerald. Il s’agit d’un roman et non d’une biographie, en effet, même s’il y a une grande partie de vérité, il y a aussi une grande partie d’invention, de roman quoi.
Cet après midi, après avoir fait un petit tour, je me suis retrouvé aux Halles, après un petit passage à l’UGC Ciné Cité des Halles, où les films qui m’intéressaient étaient soit commencés soit dans trop longtemps, je suis allé à l’Orient Express, et j’ai vu Agent Double
Février 2001, Robert Hanssen, un vieux de la vieille du FBI, est arrêté pour espionnage… Deux mois avant, un jeune spécialiste en informatique qui veut devenir agent reçoit comme affectation secrétaire de Hanssen. Son but, le surveiller, il est soupçonné d’être une taupe au service de la Russie.
Hier soir, j’ai emmené ma mère et mon petit frère au Théâtre du Châtelet pour voir une leçon de musique de Jean-François Zygel, sur Frédéric Chopin.
Pendant deux heures, Zygel nous a fait rire, nous a fait sourire, nous a intéressé — le public était très jeune, c’était gratuit pour les moins de quinze ans, et la salle comble, faut dire, la place à 15€, c’est rien — et nous a fait parcourir l’intégralité du répertoire de Chopin. (Non, il n’a pas joué in extenso l’intégralité du répertoire, pas le temps.)
Hier soir, ma maman m’a entraîné au Vingtième Théâtre, pour y regarder un spectacle étrange, Clownissimo, «un concerto pour nez rouge et orchestre symphonique» qui met en scène le clown Chapo alias Roland Timsit, et le chef d’orchestre Maestro alias Steve Journey et son orchestre, SymphOnifilm.
Chapo prends un malin plaisir a perturber l’orchestre symphonique dirigé par Maestro en plein milieu de la représentation. Maestro arrivera-t-il a terminer son programme, Chapo arrivera-t-il a faire jouer son œuvre ?
Ce soir, je me suis rendu dans le petit cinéma du quartier latin, le Reflet Medicis, pour y voir l’ultime version, «Final Cut», de Blade Runner.
Cette version se base sur la «Director’s Cut», avec par ci par là des petites choses modifiées, sur les plans de transition, des décors d’arrière plan améliorés, des voix synchronisées (sisi, 25 ans après, enfin…) et le ciel bleu de la scène de la colombe qui devient un ciel nocturne. L’image et le son ont aussi été entièrement restaurés.
Je n’avais jamais vu Blade Runner au cinéma, et, je trouve que ça vaut le coup. Enfin, l’un dans l’autre, je préfère quand même largement cette fin là à la fin sortie en salle en 1982.
J’ai terminé hier Prédation, un thriller écrit à quatre mains par de Jérôme Camut et Nathalie Hug.
Un cadavre dénudé est découvert dans un terrain vague, la main droite arrachée par une explosion avec un énorme tatouage d’idéogramme sur le ventre. Un homme se tire une balle en pleine tête, dans un centre commercial bondé, avec en main, une mallette pleine de drogue, lui aussi à un tatouage sur le ventre. Un deuxième cadavre dans un parc parisien, lui aussi une main en moins et un tatouage sur le ventre…
Ensuite, puisque j’étais sur place, je suis allé voir À La Croisée Des Mondes : La Boussole D’Or, un conte fantastique avec la jolie Nicole Kidman et la mignone Dakota Blue Richards.
Dans un univers parallèle, pas si loin — mais quand même un peu — du notre, Lyra, une jeune orpheline, est pensionnaire dans un collège. Aidée de son dæmon (la représentation animale de son âme et de sa personnalité), elle se lance dans une folle aventure qui va l’emmener dans un voyage à travers le monde ou elle frôlera la mort et découvrira tant de choses…
Aujourd’hui, je suis parti faire un tour à l’UGC Ciné Cité des Halles, voir La Nuit Nous Appartient avec Joaquin Phoenix, Mark Wahlberg et Robert Duvall.
New York, 1988, Joaquin Phoenix, Bobby, gère une boîte de nuit branchée qui appartient à un parrain de la mafia russe. Son père et son frère sont respectivement, le commandant et un capitaine dans la police. Une nouvelle drogue apparaît et provient a priori d’une faction de la mafia russe, et son frère est chargé de l’enquête…
Alors, le mois dernier, en faisant tomber en marche IPv6 sur le backbone de Gitoyen, je suis tombé sur un truc étrange sur le routeur de Gitoyen qui tourne sous FreeBSD (les autres sont sous Linux).
Pour une raison étrange, lorsque le démon zebra recevait une route IPv6 dans sa RIB, et qu’il ne l’avait pas encore, il la mettait dans la FIB du noyau, il découvrait avec un bonheur certain une route IPv6 (celle là même qu’il venait de mettre), la mettait dans sa RIB, et de par le fait qu’il préfère les routes noyau aux routes OSPF, enlevait la route qu’il avait mise (sic), là, voyant que, oh, malheur, il n’y avait plus la route noyau en question (forcément, il venait de l’enlever), remet la route OSPF…