J’ai terminé hier Prédation, un thriller écrit à quatre mains par de Jérôme Camut et Nathalie Hug.

Un cadavre dénudé est découvert dans un terrain vague, la main droite arrachée par une explosion avec un énorme tatouage d’idéogramme sur le ventre. Un homme se tire une balle en pleine tête, dans un centre commercial bondé, avec en main, une mallette pleine de drogue, lui aussi à un tatouage sur le ventre. Un deuxième cadavre dans un parc parisien, lui aussi une main en moins et un tatouage sur le ventre…

Deux flics commencent l’enquête, essayent tant bien que mal d’établir un profil commun sur ces morts. Mais aucun lien, aucune piste, si ce n’est que ces personnes étaient toutes sans histoires et ont toutes disparues du jour au lendemain, avec leurs épouses, quelques mois avant les faits.

Un jeune père, dressé comme un chien, est tourmenté sans relâche au fond d’un cachot sans porte ni fenêtre. Pour lui, commence un entraînement, puis des missions, transporter des colis d’un point à un autre.

Du début à la fin un romain haletant. Ça faisait des années que je n’avais pas été aussi pris par un policier. Je le recommande chaudement.

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