Ce soir, je me suis regardé un film (et pas un flim) que j’avais envie de regarder depuis longtemps, All the President’s men. Réalisé par Alan J. Pakula, d’après le livre éponyme de Bob Woodward et Carl Bernstein, avec dans les rôles principaux, Robert Redford et Dustin Hoffman
Pourquoi cela fait longtemps que je voulais le voir, ce film me demanderez vous ? Et bien, bande de dégénérés, mais c’est parce que c’est film qui sert de base à l’action de La Classe américaine ce fameux flim qui n’est pas un flim sur le cyclimse.
Aujourd’hui, marathon cinématographique, je commence par Braquage à l’Anglaise où nous retrouvons Jason Statham que nous avons déjà vu dans Snatch. ou encore Le Transporteur.
Terry Leather, un petit vendeur de voitures londonien, marié, deux enfants, voit ses affaires péricliter. Il est aussi un petit brigand, et c’est pour ça que Martine Love, une ancienne modèle, qui a un faible pour lui depuis des années lui propose un casse… Une banque va avoir son système d’alarme éteint pendant une petite quinzaine…
Ensuite, le super héros du moment, Hancock, avec Will Smith qu’on ne présente plus, et la jolie Charlize Theron, que j’ai déjà vu dans Æon Flux et Dans la vallée d’Elah.
John Hancock n’est pas heureux, il fait le super-héros parce qu’il est le plus fort, mais il ne s’intéresse à rien à part ses bouteilles de whisky qui l’aident à ne pas penser a son coté dépressif. Au fil des années, il a sauvé énormément de gens à Los Angeles, mais sans vraiment faire attention aux dégâts qu’il occasionne aux routes, immeubles, trains ou voitures pendant qu’il fait son travail…
Ce soir, rebelote, j’ai emmené ma maman au Théâtre du Châtelet pour voir une leçon de musique de Jean-François Zygel, sur Johannes Brahms.
Et pour finir mon marathon, et avant qu’il ne passe plus en salle, L’Incroyable Hulk avec Edward Norton dans le rôle du Dr Banner, Liv Tyler, Tim Roth et William Hurt.
Dans cette version, le Bruce Banner est devenu Hulk par erreur alors qu’il travaillait pour l’armée dont le but était de créer des super soldats. Il est en cavale depuis des années, et il réussit pour l’instant à éviter de se transformer. Réfugié au Brésil, il corresponds avec un M. Blue qui tente de l’aider à trouver une manière de faire disparaître Hulk. Il prends aussi des cours d’arts martiaux, de méditation et de respiration pour l’aider à contrôler ses émotions.
Cet après-midi, ça faisait des mois que je n’avais plus fait ça, et il fallait que je sache si j’étais toujours assez en forme pour la fameuse Randonnée de la Marne (carte) dans deux semaines.
J’avais envie de montrer ce que ça donnait plusieurs milliers de personnes en rollers qui prennent le Champs de Mars en otage pendant la pause, mais je dois avouer que mon téléphone, qui déjà, ne fait pas très très bien téléphone, n’est vraiment pas fait pour ni prendre des photos, ni prendre des vidéos. (Et la photo a été bien améliorée, je vous assure.)
Alors que je surfais tranquillement une petite vague sur le grand océan qu’est le web, je suis tombé sur The Ukulele Orchestra of Great Britain, qui est un ensemble musical composé d’un ensemble de six musiciens jouant du ukulele, et d’un rebelle jouant de la guitare basse.
Un peu comme la chorale belge Scala, ils font principalement des reprises de chansons et thèmes bien connus. Outre la reprise de Le bon, la brute et le truand ci dessous, j’ai trouvé une version particulière de Shaft et un medley contenant entre autres Fly Me to the Moon, Killing Me Softly With His Song ou Hotel California. Je me suis même créé une liste de lecture pour les retrouver les jours ou j’aurais envie.
Vous le savez, je fais du rollers, et vous le savez peut être aussi, dans Paris, il y a une centaines de fontaines publiques, dîtes Fontaine Wallace nommées après Richard Wallace, un gentil philanthrope britanique, qui finança leur installation à la fin du XIXème siècle.
Sur la page de wikipédia, il y a la liste avec les adresses, on peut aussi les retrouver sur le site de la Mairie de Paris, et j’ai même trouvé en cherchant un peu sur google un site qui recense ces fontaines avec une note pour chacune, comme «trouvée», «HS» ou même «la rue n’existe pas».
Pour ceux qui ne le sauraient pas (il y en a forcément), OpenStreetMap permet de créer et de fournir des données géographiques libres et gratuites. Elles peuvent servir, par exemple, à créer des cartes routières pour ceux qui le désirent. Ce projet a débuté parce que la plupart des cartes disponibles, même gratuitement, ont des restrictions légales ou techniques limitant leur usage et empêchant de les utiliser de façon créative, productive ou innovante.
Les données géographiques sont basées en général sur des traces obtenues à partir d’un GPS. Il y a différentes manières d’aider, on peut importer ses traces GPS, on peut aussi éditer les données pour fabriquer des routes, des zones, des villages à partir des données de base.
Ensuite, j’ai enchaîné avec un film dont les affiches avaient fleuries dans le métro en décembre 2007, l’adaptation au cinéma de la bande dessinée de Jean Van Hamme, Largo Winch. Avec Tomer Sisley dans le rôle de Largo, Kristin Scott Thomas dans le rôle de la numéro 2, et Mélanie Thierry dans le rôle de la jolie fille.
Pour ceux qui connaissent l’univers de Largo, le film reprends les quatre premiers livres, pour les autres, Nerio Winch, un très puissant et très riche homme d’affaire qui n’a pas de descendance a adopté en cachette un enfant, Largo Winch, 25 ans après, il est assassiné. Largo fait alors surface en héritier que personne n’attendait.