Et pour terminer ma journée, une plus de quatre heures sur Jacques Mesrine avec les deux films de Jean-François Richet : Mesrine : L’Instinct de mort et Mesrine : L’Ennemi Public n°1. Avec Vincent Cassel dans le rôle titre, Cécile De France dans le rôle de Jeanne Schneider, Ludivine Sagnier dans le rôle de Sylvie Jeanjacquot, Ibars Valverde dans le rôle de Maria de la Soledad ou encore Gérard Depardieu dans le rôle de Guido.

Le premier film nous conte les débuts de Mesrine, la guerre d’algérie ou il sera décoré, puis, ses débuts dans les années 60, petit cambriolages, son mariage avec Maria de la Soledad avec qui il aura trois enfants, ses bracages dans divers pays, les débuts en prison, les évasions, le divorce d’avec Maria. Il part au Canada avec Jeanne Schneider, y enlève un milliardaire, sa fuite à travers les états unis, sa capture, son incarcération au Canada. La prison encore, puis l’évasion, sa vie là bas.

Le deuxième film, reprends à son retour en France en 1972, le début des braquages, son arrestation, puis son évasion du tribunal de Compiegne. Son activité reprends de plus belle, puis, il est de nouveau arrêté, et placé en détention dans le quartier de haute sécurité de la prison de la santé, il y rencontre François Besse, avec lequel il s’évadera en 1978 et s’associera quelques mois. Il braque encore, puis enlève un milliardaire et obtient six millions de francs, il devient alors l’ennemi public n°1. La traque s’intensifie, jusqu’à la fin, où les forces de police l’abattent en pleine journée porte de Clignancourt.

J’ai trouvé Vincent Cassel très bon dans ce rôle, l’exubérance, la confiance en soi, tout. Du fait du thème abordé, c’est un film assez dur, mais on s’attache à ce Mesrine, qui finalement, comme il le dit ne fait que voler aux voleurs.

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