Ce midi, je suis allé voir papy Harrison Ford (68 ans quand même) qui retourne jouer aux aventuriers, Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal. Nous retrouvons aussi la jolie Karen Allen que nous avions déjà vu dans le premier volet de cette trilogie en quatre épisodes, mais cette fois ci, elle a un fils, Shia LaBeouf un peu rebelle. Et dans le rôle de la jolie méchante russe, nous retrouvons Cate Blanchett

Tout débute en 1957, dans le désert du Nevada, sur une base militaire qui contient un immense hangar numéroté 51, ou Indy a été kidnappé par des Russes qui cherchent une caisse bien précise. Les plus attentifs d’entre nous trouveront que ce hangar ressemble beaucoup à un autre hangar que l’on a déjà vu à la fin du premier épisode. Aussi étonnant que ça puisse paraître, les russes ne sont pas a la recherche de cette caisse là (que l’on apercevra brièvement parce qu’Indy l’aura percuté), mais d’une autre, qui contient quelque chose d’encore plus étrange, mais bon, nous sommes dans la fameuse zone 51, hein…

Après avoir échappé de justesse aux Russes, Indy survit à une explosion atomique (zone 51 toujours) en se cachant dans un frigo et se retrouve à être traité de communiste par le FBI (guerre froide, tout ça) et finalement, viré de son poste d’enseignant à cause de ça.

Il décide alors de partir en vadrouille, loin, mais se fait rattraper par Mutt, un jeune homme dont la mère a été kidnappée aussi, et ils partent sa recherche. Ils vont se retrouver à Nazca au Pérou pour retrouver la tombe d’un conquistador qui avait trouvé Eldorado…

Après maintes péripéties à travers la jungle amazonienne, nous nous retrouvons dans un temple, (qui n’est pas en or en fait, «or» était une mauvaise traduction, et ça aurait du être «savoir»,) où ils ramènent le crâne de cristal à son propriétaire (un squelette en cristal sans tête), les méchant meurent, et Henry Jones Junior à gagné un fils. Le film se termine par le mariage de Marion et d’Indy, tout va bien…

Après tous les échos que j’en avais eu, je m’attendais à bien pire, il n’y a peut être pas autant d’humour que dans les trois premiers, mais il y en a quand même, on retrouve aussi la griffe Spielberg. Ça pu être bien pire, et ça aurait pu être mieux, mais c’était pas si mal que ça.

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